BIBLE EN PROVENCE

La Bible dans le temps et les arts

La Bible à travers les arts

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« la révélation de tes paroles éclaire »

                                             Psaume 119/130

Littérature

« C’est le cœur qui sent Dieu, et non la raison. Voilà ce que c’est que la foi, Dieu sensible au cœur non à la raison ».

 

« L’homme n’est pas digne de Dieu, mais il n’est pas incapable d’en être rendu digne ».

 

« Jésus-Christ est un Dieu dont on s’approche sans orgueil, et sous lequel on s’abaisse sans désespoir ».

 

« L’Écriture Sainte n’est pas une science de l’esprit mais du cœur. Elle n’est intelligible que pour ceux qui ont le cœur droit ».

                                                                                                 Blaise Pascal (1623-1662)

« L’univers m’embarrasse, et je ne puis songer que cette horloge existe et n’ait pas d’horloger ».

                                                 

« Si Dieu n’existait pas, il faudrait l’inventer ».                   

                                                                                           François Marie Arouet dit : Voltaire (1694-1778)

« je dois vous confesser que la majesté des Écritures m’éblouit, la sainteté des Évangiles parle à mon cœur et a des traits si frappant de vérité ».

                                                                                         Jean Jacques Rousseau (1623-1662)

Maison de Chateaubriand

Vallée aux loups

« il est un Dieu. Les herbes de la vallée et les cèdres du Liban Le bénissent,l’insecte bruit ses louanges et l’éléphant Le salue au lever du soleil, les oiseaux chantent dans le feuillage, le vent Le murmure dans les forêts, la foudre tonne sa puissance et l’océan déclare son immensité, l’homme seul a dit : il n’y a point de Dieu »

                                                                 François René Chateaubriand (1768-1848)

« il n’y a qu’un livre qui contient toute la sagesse humaine éclairée de toute la sagesse divine, un livre que la vénération des peuples appelle « le Livre : la Bible ».

 

« ensemencez les villages : une Bible par cabane ».

                                                                                      Victor Hugo (1802-1885)

« nous aspirons à retrouver le rivage perdu de l’infini… la beauté de la vérité et de la sagesse peut apaiser sa  soif. La beauté de la Nature à cette vérité unique de tourner notre esprit vers la lumière. Beauté de l’Écriture, beauté de la Nature et beauté de l’Art renvoient à un Logos artiste. Plus que les arguments, la beauté nous renvoie au divin ».

 

                                                                                                           Bernard Grasset (1881-1955)

parabole du filet

sculpture

Donatello (1386-1466)

 

« David » (en bronze)

« Habacuc » (en marbre)

« Jean Baptiste » (en bois)

« Jean », l’apôtre (en marbre)

« Marc », l’apôtre (en marbre)

 

 Michel Ange (1475-1564)

 

« David » (en marbre)

« Moïse » (en marbre)

cinéma

« Samson et Dalila » (1951) de Cecil B. de Mille

« les dix commandements » (1956)

 

« Salomon et la reine de Saba » (1959) de King Vidor

 

« Ponce Pilate » (1962) de Paolo Callegari

 

« l’évangile selon saint Matthieu » (1964) de P. P. Pasolini

 

« la Bible » (1976) de Marcel Carné

 

« Jésus de Nazareth » (1976) de Franco Zeffirelli

 

« la passion de Christ » (2004) de Mel Gibson

David et Bethsabéa (1957)

de King Henri

peinture

« le reniement de Pierre »

Rembrandt

« adoration des mages » de Sandro Boticcelli (1445-1510)

 

« la Cène » de Léonard de Vinci (1452-1519)

 

« la Genèse » de Michel Ange (1475-1564)

 

« les noces de Cana » de Véronèse (1528-1588)

 

« la descente de la croix » de Rubens (1577-1640)

 

« la résurrection de Lazare » de Rembrandt (1606-1669)

maximes

(populaires tirées de la Bible)

« qui sème le vent récolte la tempête »

                                                      prophète Osée 8/7

 

 

« deux valent mieux qu’un »

                                          Ecclésiaste 4/9

 

 

« on reconnaît l’arbre à son fruit »

                                                évangile selon Matthieu 12/33

 

 

« il faut rendre à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui est à Dieu »

                                                           évangile selon Matthieu 22/21

 

 

« quiconque se sert de l’épée périra par l’épée »

                                                évangile selon Matthieu 26/52

 

 

« nul n’est prophète en son pays »

                                                évangile selon Luc 4/24

 

 

« à chaque jour suffit sa peine »

                                         évangile selon Matthieu 6/34

Georg Friedrich Haendel (1685-1759)

« Israël en Égypte » (1738) : oratorio

 

« Saül » (1739) : oratorio

 

« le Messie » : oratorio

Composé entre le 22 août  et le 14 septembre 1741, exécuté pour la première fois le 13 avril 1742 à Dublin. Les thèmes principaux sont : la glorification de la naissance de Jésus, la passion, mort et résurrection, la rédemption du monde par le Christ.

 

« Samson » (1743) : oratorio

 

« Salomon » (1748) : oratorio

 

« Jephté » (1752) : oratorio

Jean Sébastien Bach (1685-1750)

« passion selon saint Jean » (1724)

 

« l’oratorio de Pâques » (1725)

 

« la passion selon saint Matthieu » (1729)

C’est le récit du dernier repas, de l’arrestation, de la condamnation à mort, de l’exécution de Jésus.

 

« l’oratorio de Noël » (1734)

 

« devant ton trône je vais comparaître » : choral

Ultime testament de Jean Sébastien Bach. Les trois parties d’accompagnement murmurent en invitations fuguées chaque phrase du choral. Le choral lui-même s’élève dans une atmosphère pleine de sérénité. C’est l’accomplissement d’une vie de travail et de foi (L.M.,directeur de conservatoire).

Johannes Brahms (1833-1897)

« requiem allemand » (1869)

Ce requiem est qualifié d’allemand pour la simple raison que Brahms utilisa le texte allemand de la Bible luthérienne au lieu, comme c’était le cas le plus fréquent, du texte latin (Vulgate).

Le quatrième mouvement de ce requiem reprend les paroles du psaume 84 : « comme tes demeures sont douces, ô Seigneur »

 Félix Mendelssohn (1809-1847)

« psaume 42 »

 

« Élias » (prophète Élie) : oratorio

Charles Gounod (1818-1893)

« Bethléem » : motet

 

« Jésus sur le lac de Génésareth » : oratorio

 

« Jésus de Nazareth » : motet

Ludwig Van Beethoven (1770-1827)

« le Christ au mont des oliviers » (1801) : oratorio

Camille Saint-Saëns (1835-1921)

« Noël » (1858) : oratorio

 

« le déluge » (1876) :oratorio

 

« la terre promise » (1913) : oratorio

opéra

« Esther » de Georg Friedrich Haendel (1685-1759)

 

« Joseph » d’Etienne-Nicolas Méhul (1763-1817)

 

« l’enfant prodigue » d’Eugène Scribe (1791-1861)

 

« Moïse en Égypte » de Rossini Gioacchino (1792-1868)

 

« Nabucco » (destruction du temple de Jérusalem par Nabuchodonosor II)

                            de Giuseppe Verdi (1813-1901)

 

« Samson et Dalila » de C. Saint-Saëns (1835-1921)

 

« Salomé » de Richard Strauss (1864-1949)

 

« Moïse et Aaron » de Schönberg Harnold (1874-1951)

négro spirituals

Kumbaya « déformation de Come by hère, Lord »

(viens Seigneur)

 

Go down Moses

                        (descends, Moïse)

 

Lit’le David Play on yo’harp

                                 (petit David joue sur ta harpe)

 

Peter on the sea

                        (Pierre sur la mer)

 

Nobody knows de trouble i’ve seen

                                      (personne ne sait quelle est ma peine)

Nabucco

Opéra en quatre parties

vitrail

compositeurs